Ma rencontre avec le chef Daisuke Utagawa, du restaurant Sushi-Ko à Washington, m’a apporté un éclairage essentiel et inattendu qui a beaucoup contribué à clarifier ma propre recherche du saint Graal du vin de Bourgogne.
Taoïsme, Bourgogne et soustraction
Publié le 29 août 2009
Articles en lien
Le Pianiste et L’Oenologue
31 août 2008« On joue beaucoup du piano là-dedans, et je l’entends comme le commentaire le plus péjoratif qui soit » (Glenn Gould, à…La révolution d’un seul brin de paille
31 août 2010Masanobu Fukuoka est un ingénieur agronome qui, dans le Japon matériellement et moralement ruiné de l’après-guerre, part vivre en ermite…